Etonnant artiste qu’Aldo López-Gavilán, tout autant à son aise dans le répertoire classique (il a joué sous la direction de Claudio Abbado en 2006) qu’en jazz.
C’est sous ce visage que le pianiste cubain participe au festival pour une soirée durant laquelle sa palette de couleurs immense, sa « technique éblouissante et sa rythmique de feu » (Seattle Times) promettent une expérience aussi tonique qu’enivrante.
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