« La fluidité et la grâce » : les termes utilisés par le Classical Music Magazine au sujet de l’Israélien Ishay Shaer résument on ne peut mieux le tempérament d’un poète du clavier, révélé dès 2006 par le Premier Prix du Concours International de Newport.
Mais ce sont les encouragements de Daniel Barenboim qui auront le plus contribué à l’envol de la carrière d’un artiste chez qui le raffinement le dispute à l’intelligence du texte.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir